"A aucun moment, la FAF et le sélectionneur national, M. Djamel Belmadi, n'ont fait allusion, cité ou même accusé la Fécafoot ou une autre fédération ou instance internationale dans l'interview à laquelle se réfère ce communiqué. Cependant, ils ont dénoncé à plusieurs reprises le comportement de certains arbitres dont les décisions et les attitudes ont influencé négativement le déroulement, voire le résultat d'un match", indique un communiqué de la Fédération algérienne de football publié mercredi.
La FAF est foncièrement attachée aux valeurs et aux vertus du sport et a toujours accepté les résultats qui lui étaient défavorables de manière équitable et sans murmurer ou accuser qui que ce soit. Cela ne peut pas être le cas lorsque l'arbitre fausse l'issue d'un match... Dénoncer le comportement de certains arbitres s'inscrit dans un intérêt général auquel adhèrent la plupart des acteurs du football pour protéger et préserver l'intégrité du jeu sur notre cher continent, dont nous faisons partie, dont nous partageons les valeurs et dont nous chérissons l'honneur et l'image.
Alors que la fédération camerounaise s'est contentée jusqu'à présent de menacer l'Algérie d'une action en justice devant la FIFA, son homologue gambienne a agi au nom de la défense de son arbitre international. L'affaire Belmadi est comme un feuilleton à épisodes.
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L'arbitre du match Algérie-Cameroun (1-2 a.p.) est mis en cause par la Fédération.