Avant d'être licencié à l'été 2019 par l'OM pour faute grave par un Jacques-Henri Eyraud qu'il "déteste le plus dans le monde du football", Adil Rami a craqué après la victoire de l'équipe de France à la Coupe du monde 2018 en Russie, mais aussi à cause de la médiatisation de sa relation amoureuse avec Pamela Anderson, une célébrité internationale qui s'était carrément installée à Marseille.
"Je pense que ce sont des gens qui se sont fait avoir par la presse à scandale. Mais je n'ai pas demandé à être dessus ! Ma copine était une icône et beaucoup de gens se sont laissés influencer par ces clics de merde. A un moment donné, j'ai craqué à cause de tous ces gens, des paparazzi, et j'ai dû fuir la France", avoue le défenseur de 36 ans dans L'Equipe.
"Une blessure mentale".
Rami n'est "pas fâché" contre l'actrice canadienne qui avait parlé de "torture physique et émotionnelle" lors de son idylle avec l'international français. Il a ajouté : "La rupture avec Pamela a été une blessure mentale, et ce n'est pas facile de passer pour le méchant quand ça ne va pas. Je devais partir.
Le champion de France avec le Losc est passé à Fenerbahçe, mais cela a vite mal tourné ("Je le dirai dans quelques années. Au début, ils ne m'ont pas laissé jouer, puis ils ont voulu me garder. Mais je ne voulais plus jouer pour eux"). Son exil à Sotchi a été encore plus difficile à cause du Covid, et c'est finalement à Boavista et, depuis l'été dernier, à Troyes qu'il a repris pied.