Moefana pour remplacer Villière à l'aile.
Yoram a fait un très bon match, même un très, très bon match contre l'Irlande, et il a aussi fait une très bonne apparition contre l'Italie. Il a fait une bonne performance chez nous. Il est très performant à l'UBB. Il est aussi très performant à l'entraînement avec nous au poste d'avant-centre ou d'ailier. Nous voulions garder les repères avec les autres joueurs alignés. La question s'est posée pour Matthis Lebel, qui est un ailier de formation. Nous avons choisi ce profil pour le duel contre l'Écosse, qui alignera des trois-quarts très puissants et physiques, avec deux ailiers qui marchent actuellement sur l'eau.
A nouveau six joueurs de devant parmi les finisseurs
Nous avons la formule avec six avant-centres et deux arrière-centres pour une deuxième mi-temps où nous lâchons un tout nouveau paquet d'avant-centres pour apporter ce supplément d'âme et d'énergie vers la 50e minute. Lebel sur le banc ? Nous avons Fickou, qui peut se glisser sur l'aile, nous avons aussi Ntamack, qui peut se glisser dans l'axe, et Thomas Ramos, qui peut se glisser dans l'ouverture du jeu ou dans la zone arrière. Et au cas où il faudrait utiliser un quatrième joueur, car cela peut arriver, François Cros peut aussi se glisser au centre.
La désillusion de 2020
Nous nous en souvenons encore très bien. C'était notre plus grosse défaite depuis que nous avons repris l'équipe. C'était un non-jeu. Nous avions été renversés par ces Écossais (28-17). Nous n'avions pas trouvé la clé. Cela avait surtout été un processus d'apprentissage pour nous et pour l'équipe. L'Écosse, c'est aussi notre seule défaite à domicile en France, donc c'est une équipe qui nous pose des problèmes. Nous devons faire un grand match dans ce cadre sublime de Murrayfield (...) Mais nous avons beaucoup appris de notre défaite d'il y a deux ans. Nous nous y sommes préparés cette semaine.