OM : Sampaoli parle de sa relation avec Longoria

OM : Sampaoli parle de sa relation avec Longoria

Deux jours avant le déplacement de l'Olympique de Marseille à Brest, dimanche, pour le compte de la 28e journée de Ligue 1 (20h45), Jorge Sampaoli a notamment évoqué sa relation avec son président Pablo Longoria lors d'une conférence de presse, vendredi.


L'Olympique de Marseille occupe la troisième place du classement de la Ligue 1 française, mais n'a pas d'avance au classement. Derrière le club phocéen se trouvent Rennes (1 point), Strasbourg (3) et Nantes (5). Battu à deux reprises lors de ses trois derniers matchs au niveau national, l'équipe de Jorge Sampaoli s'est relancée jeudi soir en huitième de finale de conférence de la Ligue Europa en battant Bâle 2-1. Dimanche, l'OM se déplacera à Brest et l'entraîneur argentin s'est vu à son tour au centre de nombreuses critiques, notamment concernant sa titularisation d'Arkadiusz Milik.

"Nous avons le même objectif, celui d'améliorer l'histoire de l'OM"


Vendredi, en conférence de presse, l'entraîneur de l'OM a assuré qu'il ne recevait aucune pression de son président Pablo Longoria concernant la composition de son équipe. "Non, il n'a pas d'influence à ce niveau parce qu'il me connaît et sait que je ne le laisserais pas faire. Je n'accepterais pas que quelqu'un ait une influence sur mon travail. Chacun a son propre travail. Nous partageons nos opinions, parfois même sur les situations dans les jeux. Nous avons le même objectif, à savoir améliorer l'histoire de l'OM. Mais chacun a son travail, donc il n'a pas d'influence à ce niveau", a-t-il expliqué aux médias.


Conscient de la nécessité de résultats pour Marseille, Sampaoli a également donné son avis sur l'état d'esprit que son équipe doit adopter pour être la plus réactive possible sur le terrain. "Nous devons croire en notre idée, car si nous n'y croyons plus, nous serons désorganisés. Nous avons peu de temps et nous devons obtenir des résultats. L'équipe est jeune. Il faut travailler là-dessus, car pour que l'équipe soit bonne, il faut qu'elle soit heureuse", a-t-il exprimé, anticipant d'éventuels "problèmes" dans la dernière ligne droite si Lyon, Rennes ou Lens revenaient.