Volleyball - Bleus : Giani comme nouvel entraîneur ?

Volleyball - Bleus : Giani comme nouvel entraîneur ?

Si l'on en croit RMC Sport, le nouvel entraîneur de l'équipe de France masculine de volley-ball devrait être Andrea Giani (51 ans). L'entraîneur italien de Modène et également sélectionneur de l'Allemagne devrait très rapidement devenir officiellement le successeur de Bernardinho.

L'entraîneur d'Earvin Ngapeth aux côtés des Bleus ? Selon les informations de RMC Sport, Andrea Giani (51 ans) sera prochainement nommé entraîneur de l'équipe de France masculine de volley-ball, le Brésilien Bernardinho, qui venait de succéder à Laurent Tillie, ayant été contraint de quitter le poste pour des raisons familiales. Giani, qui était Ngapeth au club italien de Modena et également le.... fils de Bernardinho, aurait convaincu la Fédération française de volley-ball (FFVB) de lui confier les rênes du champion olympique en titre, vainqueur de la dernière Ligue des nations. Et ce, malgré l'inexpérience de l'entraîneur italien à la tête d'une des plus grandes équipes du monde du volley-ball et le mauvais début de saison de Modène sous sa direction, éliminée prématurément de la Coupe CEV (contre Tours) et de la Coupe d'Italie contre Piacenza. Si Giani dirige donc une équipe nationale, ce ne sera que la modeste équipe allemande, qui n'a terminé que huitième lors du dernier championnat d'Europe (2019) et qui a été absente aussi bien lors du dernier championnat du monde que lors des deux derniers Jeux olympiques.

Giani

aurait été

préféré à Sammelvuo


RMC Sport pense toutefois que l'Italien, qui avait auparavant entraîné la Slovénie (entre 2012 et 2015), a rompu son contrat avec la fédération allemande après avoir fait savoir à ses dirigeants qu'il avait décidé d'accepter le très haut challenge proposé par la fédération française pour diriger les Bleus. Les Allemands peuvent toujours se tourner vers l'autre technicien que l'équipe de France avait envisagé avant de se décider visiblement pour Gianni. Le Finlandais Tuomas Sammelvuo avait l'avantage de parler couramment le français et d'être libre. Sammelvuo, qui avait postulé après Giani, présentait manifestement de nombreux points qui auraient pu inciter la FFVB à lui faire confiance. Mais apparemment moins que son concurrent italien.