Parker, fin de l'histoire

Parker, fin de l'histoire

Près d'une semaine après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, le mystère plane sur le nom du prochain Premier ministre. Ou plutôt de la prochaine Première ministre, car si l'on en croit les rumeurs, le chef de l'Etat souhaiterait installer une femme à Matignon, plus de trente ans après Edith Cresson. La plupart des ministres devraient perdre leur portefeuille ministériel. Ce devrait être le cas de la ministre des Sports, Roxana Maracineanu.

Le journal sportif français L'Equipe a récemment cité plusieurs noms pour sa succession, dont Laure Boulleau, Amélie Oudéa-Castera et Tony Parker. L'ancien meneur de jeu des Spurs n'a toutefois pas l'intention de devenir ministre. "Honnêtement, je ne le pense pas. Je suis très heureux de ce que je fais dans le monde de l'entreprise. Je suis animé par la transmission, je fais beaucoup de choses pour la nouvelle génération, c'est ce qui me motive. J'ai envie de rendre à mon pays et je pense que je peux le faire en tant qu'entrepreneur", a-t-il assuré lors d'un entretien avec BFM Business, ajoutant à propos de la politique : "Non, ça ne m'intéresse pas".

L'ancien basketteur n'est pas non plus intéressé par la succession de Jean-Michel Aulas à la présidence de l'Olympique lyonnais. Du moins pour le moment. "Je suis là pour apprendre et j'ai de la chance d'avoir quelqu'un comme lui qui apprend le métier. Je pense qu'il est le président qui a le mieux réussi ces 30 dernières années. Ce qu'il a pu construire à Lyon est très fort", a-t-il confié.